Étrange évenement

Joshua passait la vadrouille sur le pont, plus loin, un personnage au visage recouvert de cicatrices parlait avec son capitaine. C'était Sao feng d'après un loup de mer. Le marin n'y porta pas plus d'attention au personnage. Il repoussa un mollusque qui se prommenait sur le flanc du bateau. Son aménagement sur l'Ailbe c'était bien passé. Après quelque voyage il s'était calmer et laissait en tout temps la houle le bercer. Il déposa sa serpière et s'assis sur les rampes. Les hautes vagues léchaient ses pied à son plus grand plaisir. Le mollusque qu'il avait délogé remmontait à tribord. Joshua étouffa un juron et reprit sa vadrouille. Il l'écrasa puissement sur la carapace de la créature marine. Elle retomba dans la mer, elle allais surement se faire manger par d'autre créature. Lorsequ'il reprit place sur rampe le molluse était déjà remonter. Joshua allait r'attraper sa vadrouille lorseque sa jambe se fit attraper par une main gluante. Se débattant pour ne pas se faire engloutir, il délogea une dague et l'enfoça dans la main qui ressemblait plus à une pince de homard qui muait. La pince recula avant de revenir à la charge avec trois autre main. Ne pouvant lutté contre ce monstre, Joshua Lâcha un cris de désespoir.

-Capitaine! À l'aide!

Il ne put voir la réaction du meneur d'homme, il était dans les flots, quelques bulle laissait prouver sa présence...

Aerandir était un peu reveur, mais il sortit vite de ses songes aux cris poussé par un de ses hommes... Se retournant avec vigueur, il se présipita ou le jeune homme avait disparut. Quelques bulles était encore la, seule temoin de sa disparition... Avec une rapidité et une habileté hors norme, il alla chercher un bout qu'il lança par dessus bord pour sauver le jeune homme. De son autre main, il avait sortit son pistolet de sa ceinture. C'est Joshua qui avait disparut, il le savait, mais comment.... Le jeune homme était habile, il ne serait pas tombé seul assurement. Il regardait la mer, bougeant la corde.

La goule! Attrape le bout!

Hurlait il pour surpasser le bruit des vague et meme en sachant que le jeune homme ne l'entendrait peut etre pas...

La goule se débattait contre son agresseur, tentant de le transpercer d'un de ses poignards. Il jeta un regard las à la corde que le capitaine lui lançait, il l'attrapa avec force, mais le manque d'air se faisait sentir. Il lacha prise. Au bord de l'inconscience, il tenta de comprendre ce qui lui arrivait. Le spectacle qui vit lui coupa le souffle... Encore plus! Sous l'Ailbe se trouvait un autre navire. Les matelos, qui possédait des membres de mollusque et d'animaux marin, un portait une tête de pieuvre et le regardait avec un grand sourire, enfin, ce qui semblait être un sourrir. Ils vaquaient à leurs occupations malgré le fait que leur bateau est couler. Il ne vit que la tête de moule de son assaillant à vant de perdre son poignard et de sombrer dans un abîme noir...

Aerandir ne voyait rien... Le remou des flots cachait la scène et ce qu'il y avait dessous. Il avait sentit la resistance qui signifiait que son ami tenait la corde, mais bien vite, cette resistance disparut... Mauvais signe, plus qu'une solution: plonger. Se debarassant de sa veste et de la carte qu'il avait dans la poche de son pantalon, il se prépara pour le plongeons. Avant de partir, il donna l'ordre a son second de laisser le navire ici, et de prendre les renne en cas de problèmes. Il ajouta que si dans dix minutes ils n'étaient pas tous deux a bords, l'équipage devait faire voile loin d'ici. Une fois cela fait, le jeune capitaine releva ses manches et plongea, un couteau dans une main, son épée de l'autre. Assez vite il compris... Paniqué, surpris, il s'empressa de fondre sur "l'homme" qui tenait la goule. Il lui asseignit quelques bon coups puis libera enfin son compatriote. Celui ci était dans un etat critique, et le capitaine commenait serieusement a manquer d'air. Remontant comme il pouvait a la surface, il se depecha de remonter a bord, donnant l'ordre de partir au plus vite. Le hollandais vollant était la... Que faire? Partir? Il leur enverait le Kraken aux trousses... Partant tous de meme, Aerandir regarda le jeune homme qu'il tapottait doucement. Ils étaient sur le pont.

La goule! Reveilles toi!

Disait il dans un état second.

Sait tu ce qu'ils nous veulent?

Bien sur, Aerandir savait que le Hollandais n'avait pas besoin de raisons pour couler un navire, mais plein d'espoir, il se dit qu'il y avait moyen d'en rechapper... Tremblant, de froid et de stress, il regardait le jeune matelots, accroupit au cote de celui ci.